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Entrant en classe de première scientifique, je découvris dès les premières semaines, l’existence des T.P.E , travaux pratiques encadrés. La première séance se déroula dans la salle F09, où tous les professeurs responsables des TPE, ainsi que l’ensemble des élèves de première S1 à S3, étaient réunis. Par la suite, nous devions créer des groupes de deux à trois personnes. Je décidai de rejoindre un groupe composé d’Alice Viry et de Deborah Hanouna, que je connaissais déjà auparavant et avec qui j’avais lié une sympathique amitié. Nous allions donc nous rendre chaque lundi de 11h à 12h dans un des laboratoires de chimie jusqu’au 20 janvier 2014.Les semaines passèrent, et nous essayions de trouver un point de convergence entre toutes nos idées. Ma première camarade, Deborah, soumit une thèse à propos d’une éventuelle conscience de nos amis les végétaux, à laquelle, je restais sceptique, car notre démarche scientifique n’aurait pas été fondée sur des faits concrets mais véritablement sur le subconscient de l’Homme. Néanmoins, je proposai à mon groupe, un sujet assez original et très intéressant, dévoilant les significations d’un même parfum pour différentes personnes, et de ce fait les répercussions sur nos phéromones. Ce sujet n’ayant pas remporté l’approbation de toutes, nous nous lancions dans une nouvelle réflexion et essayions de trouver une autre idée.
Parmi les thèmes suivants : « Individuel et collectif » ; « Ethnique et responsabilité » ; « Santé et bien-être » ; « Matière et forme » ; «Avancées scientifiques et réalisations techniques » ; « La mesure », Alice eut l’idée de nous présenter comme sujet  potentiel : les dangers du Coca-Cola pour l’organisme. Nous restions assez dubitatives, puisque cet exposé avait déjà été étudié de multiples fois. Cependant, en menant notre propre démarche scientifique, nous nous sentions capables d’élucider les secrets que cachait la fameuse firme Coca-Cola Company. Par conséquent, les matières associées à notre TPE furent la chimie et les Sciences de la vie et de la Terre.
Peu de temps après, et avec la collaboration de mes camarades, je trouvai une problématique réussissant à semer le doute et à déclencher des polémiques. Entre addiction et risque : le Coca-Cola, boisson légendaire depuis 1886, nous cache-t-il encore des choses ? Nous dégagions deux grandes parties : la première, « Composant et attraits addictifs », la seconde, « Les risques ».
Au lycée, de nombreuses expériences furent exécutées, la première abordant le tournant principal de notre travail, c’est-à-dire, l’acidité de la boisson, et ses conséquences sur l’appareil digestif de l’être humain. D’abord nous avons comparé l’acidité du Coca-Cola avec celle de l’acide acétique puis celle de l’acide chlorhydrique grâce au pH-mètre. Nous avons donc pu apprendre à étalonner cet appareil  avec d’autres solutions référents. Les résultats sont très surprenants. Ensuite nous avons voulu réaliser une expérience semblable, celle de « la pièce de monnaie » qui consistait à plonger une pièce de monnaie sale dans un bécher contenant une solution de Coca-Cola,  l’acide avait détruit les dépôts de saleté rendant la pièce intacte.
Les vacances de la Toussaint approchèrent, propices à la continuité de notre enquête. Nous nous vîmes plusieurs fois, et par la même occasion, nous décidions d’aller au cœur de la société en se rendant dans un supermarché. Avant, pour aiguiller notre tpe, nous avions visualisé un documentaire sur France 2 d’une heure « La face cachée de Coca-Cola », il fut pleins de rebondissement et nous poussa concrètement à vouloir résoudre ce mystère. Au Simply de la Croix d’Argent, les sondages avaient commencé, et nous n’avions évidemment pas oublié d’amener avec nous notre chère caméra qui nous fut bien utile lors de ces interviews. Nous avions récolté divers avis, certaines personnes étaient loin d’imaginer ce que pouvait cacher  la géante compagnie, tandis que d’autres  restaient assez indifférents. Tous avaient le même point commun, lorsqu’on leur demandait de citer un soda, le Coca-Cola fut le premier.
De ce fait, Alice se rendit à la médiathèque d’Antigone, pour emprunter un livre, « L’enquête interdite Coca-Cola » de William Reymond, dans cet ouvrage, riche en informations, nous avions trouvé de nombreuses réponses à nos questions.  Nous ne fûmes pas surprises de voir que le second mot le plus dit dans le monde entier de  nos jours est vraisemblablement le mot « Coca ».
La seconde semaine des vacances, nous nous rencontrèrent encore pour expérimenter un nouveau protocole, celui de faire bouillir du Coca-Cola dans une casserole et de le porter à ébullition. Le résultat fut assez déstabilisant voir étonnant puisque la solution avait un aspect solide et poreux, semblable à du charbon en apparence, et tous ces éléments éveillèrent notre curiosité pour savoir s’il l’on pouvait ou non expliquer ce que nous avions vu. Notre TPE se complétait peu en peu laissant apparaître les sous-parties suivantes : l’acide phosphorique, le saccharose, l’aspartame, l’alcool, le colorant e150d, la caféine, les feuilles de cola, la noix de kola, l’obésité, les problèmes neuro-comportementaux, le diabète, l’acidité, la portée en ébullition du coca, les effets cancérigènes. Toutefois, nous avons  voulu élargir notre champ de vision et questionner nos camarades en les soumettant eux aussi à un sondage pour savoir si leur boisson favorite pouvait être le Coca-Cola. Sans nul doute, les résultats confirmaient les interviews antérieures.
Suite à l’évaluation intermédiaire n°2, je créais un site sur l’hébergeur Wix.fr, et je m’occupais de sa gestion ainsi que de son design, et l’investissement de chacune d’entre nous dans ce projet fut égal.
Notre TPE s’arrêtait donc au début de l’année 2014, mais sa portée était bien plus lointaine. Au premier abord, je pense qu’il est à la source de révélations pour de nombreux consommateurs et il a su mettre en évidence les choses essentielles. Depuis le mois de septembre, nous sommes dans une action permanente et n’avons cessé ni même un seul  jour, de compléter et d’enrichir notre TPE, dans le but de fournir un travail sérieux et rigoureux.
J’ai vécu le TPE, comme une expérience sociale qui m’a énormément apporté, le travail de groupe était au rendez-vous, sans compter l’entraide. J’ai toujours pu compter sur mes partenaires et nous avons parcouru ce bout de chemin ensembles pour arriver au seul et même but. De plus le TPE m’a permis d’accroître ma confiance en moi mais aussi dans celle de mes camarades, sur le plan humain, des valeurs morales sont ressorties en moi, j’ai su partager, être soucieuse de l’autre et à son attention.
En ce qui concerne, le contenu brut de ce travail, j’ai pris conscience du danger qu’avait cette boisson et aujourd’hui même, j’éprouve le désir de limiter ma consommation. Je pense que les Etats voire les associations devraient mener de plus amples campagnes pour sensibiliser les populations. Entre obésité, problèmes cardio-vasculaires, diabète, la concentration extrême en sucre du soda est une menace pour le corps humain.  Un élément demeura du début jusqu’à la fin de notre TPE, l’emprise qu’a la firme américaine sur le monde, contrôlant une grande partie de l’économie mondiale, Coca-Cola s’avère intouchable, même lorsque des études remettent en cause la composition de cette boisson. Ma synthèse personnelle s’arrête ici, j’espère qu’elle a su refléter et valoriser le travail que mon groupe et moi-même avons fourni. En ce qui vous concerne, vous, consommateurs, voudriez-vous encore consommer ce soda ?

 

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